Fellini, l’illusionniste, France culture

    • Tout ce qui est fellinien naît à Rimini. De la magie de la campagne romagnole, à l’exotisme du Grand Hôtel, en passant par le mythique cinéma Fulgor, cette traversée ravive des scènes d’Amarcord, film qui, en 1973, met en récit, à partir d’une mémoire réinventée, une enfance universelle.
    • Rome invente Fellini et Fellini réinvente Rome. D’abord classé parmi les cinéastes catholiques, Federico Fellini fait trembler l’Italie bigote avec « La Dolce Vita ». Un succès mondial qui marque un tournant dans sa vie et son œuvre. Ou quand Federico se fond dans Fellini.
    • Sous l’impulsion de son psychanalyste, Federico Fellini écrit et dessine ses rêves de 1960 à 1990. Il les consigne dans un livre, longtemps retenu dans le coffre d’une banque et publié en 2007. Ceux-ci deviennent la matière même de ses films, un laboratoire imaginaire d’images et de symboles.
    • De l’écriture du scénario à la postproduction, un film est pour Fellini une expérience totale. Il l’orchestre comme un peintre sa toile, se jouant des couleurs, des lumières, des décors et des costumes au gré de sa fantaisie. À Cinecittà, Fellini est chez lui. Le Studio 5 est sa maison.
    • Devenu peu rentable pour les producteurs, le Maestro tourne de moins en moins à la fin du siècle. Contraint de réaliser des publicités, il caresse tout de même l’idée de tourner le film maudit qu’il ne réalisera jamais : « Le Voyage de Mastorna », une traversée en avion, symbolique, vers l’au-delà.
      Federico Fellini est peut-être le seul cinéaste, note Martin Scorsese dans un hommage, qui soit devenu un adjectif, au même titre que « dantesque » ou « kafkaïen ». Il suffit ainsi de dire « fellinien » pour que tout de suite apparaissent à nos yeux des clowns, des femmes protubérantes, des foules de clercs en costumes et des fêtes, le visage de Marcello Mastroianni ou celui de Giulietta Masina. Pour qu’émergent à nos oreilles une mélodie de Nino Rota, le vent, le bruit d’une mer en hiver, des cris perdus, des rires monstrueux. Pour évoquer un sens délicat de la mélancolie, de la mémoire et de l’enfance, de l’étrange, du loufoque. La Strada, La Dolce Vita, 8 et Demi, Fellini Roma, Amarcord, la liste est longue. Fellini est tout cela à la fois : son nom est synonyme de Cinéma. « Je me suis inventé presque tout : une enfance, une personnalité, des nostalgies, des rêves, des souvenirs. Pour le plaisir de pouvoir les raconter. »

« Raconter me semble l’unique jeu auquel il vaille la peine de jouer »

Federico Fellini habite le cinéma. C’est l’incarnation du démiurge, et dans le légendaire Studio 5 de Cinecittà, ses tournages ressemblent autant aux grands ateliers de la Renaissance qu’à un cirque de province. Mais en scrutant le “continent Fellini”, on voit surgir des territoires. Une cartographie qui s’ancre dans la chronologie de la vie du Maestro. Ce sont ces territoires, ces lieux, accompagnés d’extraits de films et d’interviews du réalisateur, qui vont guider la traversée : Rimini, Rome, le territoire des rêves et des esprits, Cinecittà, et le dernier voyage…

  • Une Grande Traversée de Mattéo Caranta réalisée par Somany Na

À écouter : Philosopher avec Fellini

Essais et biographies

– Jean Gili, Fellini : Le Magicien du réel, Gallimard, 2009

– Dominique Delouche, Federico Fellini, six ans avec le Maestro (1954-1960), La Tour Verte, 2019

– Sophie Guermès, Fellini, songe d’une nuit d’automne, 5 sens éditions, 2021

– Jean-Max Méjean, Fellini, un rêve, une vie, Le Cerf, 1997

– Jean-Noël Castorio, Rome réinventée, L’antiquité dans l’imaginaire occidental, de Titien à Fellini, Vendémiaire, 2019

– Anne-Violaine Houcke, L’antiquité n’a jamais existé, Fellini et Pasolini archéologues, Presses Universitaires de Rennes, 2022

– Julien Neutres, Et Fellini fonda Rome, Cherche Midi, 2013

– Olivier Maillart, Les Vitelloni de Federico Fellini, Réseau Canopé, 2023

– Jean-Paul Manganaro, Federico Fellini Romance, P.O.L., 2009

– Marina Geat, Simenon et Fellini, Paradoxes et complicités épistolaires, L’Harmattan, 2019

– Tullio Kezich, Fellini – sa vie et ses films, Biographies NRF Gallimard, 2007

– Rita Ciro, Federico Fellini, Le métier de cinéaste, Seuil, 2018

– Costanzo Costantini, Conversation avec Federico Fellini, Denoël, 1995

– Enrico Giacovelli, Tout sur Fellini, Gremese, 2020

– Vincenzo Mollica, Fellini mon ami, Editions du Rocher, 2002

– Liliana Betti, Fellini, Un portrait, Albin Michel, 1980

Livres de ou co-écrits avec Fellini

– Federico Fellini, Propos, Buchet Chastel, 1980

– Federico Fellini, Cinecittà, Nathan, 1989

– Federico Fellini, Le Livre de mes rêves, Flammarion, 2021

– Federico Fellini, Giovanni Grazzini, Fellini par Fellini, Flammarion, 2007

– Federico Fellini, Brunello Rondi, Dino Buzzati, Le Voyage de G. Mastorna, Seuil, 2014

– Federico Fellini, Milo Manara, Le Voyage de G. Mastorna dit Fernet, Casterman, 1996

– Federico Fellini, Milo Manara, Voyage à Tulum, Casterman, 1993

– Federico Fellini, Italo Calvino, Faire un film, Seuil, 1996

Livres d’exposition

– Sam Stourdzé, Fellini, la grande parade, Anabet, 2009

– Quand Fellini rêvait de Picasso, RMN, 2019

Documentaires

– Gérald Morin, Sur les traces de Fellini, Artemis Films, 2012

– Dominique Delouche, André Delvaux, Fellini (films), Carlotta Films, 2009

– Anselma Dell’Olio, Fellini des esprits, Mad Entertainment SPA, 2019

– Damian Pettigrew, Fellini, je suis un grand menteur, Portrait & Compagnie, 2002

– Ettore Scola, Qu’il est étrange de s’appeler Federico, Carlotta Films, 2013

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Martin MARGIELA, Musée Galliera 25 mars 2018

Martin MARGIELA, Musée Galliera 25 mars 2018
Photographies et montage Bernard Obadia
collection Journal 27
re-presentation

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la classe

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angle

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Le Photo-journalisme

« La tâche des premiers reporters photographes était de faire des photos isolées pour illustrer une histoire. Ce n’est qu’à partir du moment où l’image devient elle-même l’histoire qui raconte un événement dans une succession de photos, accompagnée d’un texte souvent réduit aux légendes seules, que débute le photo journalisme. »

Gisèle FREUND, in PHOTOGRAPHIE ET SOCIETE, Ed. du Seuil, Points histoire, 1974

« Voir la vie ; voir le monde ; témoigner des grands événements ; observer la face du pauvre et les gestes du puissant ; voir les choses étranges : machines, armées, foule, ombres dans la jungle ou sur la lune ; voir le travail de l’homme, ses peintures ; ses tours et ses inventions ; voir des choses situées à des milliers de kilomètres ; les choses cachées derrière les murs des maisons et au cœur des foyers ; les choses dangereuses à approcher ; les femmes que les hommes aiment et les enfants qu’elles ont eus ; regarder et
prendre plaisir à voir ; voir pour être surpris ; voir pour s’instruire. […] »
Extraits de l’éditorial de LIFE, 23 novembre 1936

« Parce qu’en l’homme ce qui m’intéresse c’est l’être humain avant le constructeur, car ce qu’il construit demeurera jusqu’à un certain point, tandis que l’expression de son être peut être saisie en une fraction de seconde ou vous échapper. Capter cette fraction de seconde est à mon avis la fonction la plus significative de la photographie. »
Henri CARTIER BRESSON, 1947

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marqué

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Gilles DELEUZE, comment du chaos naît la couleur, France culture

La peinture selon Deleuze, ou comment du chaos naît la couleur

Avec
  • David Lapoujade Maître de conférences à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne
  • Elie During Philosophe, maitre de conférences à l’Université de Paris X-Nanterre

Comme tous les vendredis, Géraldine Muhlmann propose avec ses invités de revenir sur un sujet d’actualité. Ce vendredi, c’est la publication des cours de Gilles Deleuze sur la peinture aux Éditions de Minuit qui nous donne l’occasion de revenir sur sa pensée. Qu’est-ce que le concept de « diagramme » ? Pourquoi parle-t-il de « catastrophe » ?

Penser la peinture par la catastrophe

Une des notions clefs que nous retrouvons dans ce cours est celle de “catastrophe”. Par là, Gilles Deleuze ne parle pas des catastrophes pouvant être mises en peinture par l’artiste, mais bien de l’acte de peindre lui-même. David Lapoujade explique : “c’est une catastrophe qui concerne l’activité du peintre elle-même, c’est-à-dire le moment où les coordonnées visuelles du peintre s’effondrent, c’est-à-dire ce moment où il ne voit plus rien, tout en observant, tout en scrutant le motif, il y a une sorte de cécité qui se produit et c’est ça la catastrophe”. Or, cette “catastrophe serait une certaine chance de voir les coordonnées visuelles s’effondrer”.

Le diagramme : un affranchissement de la main

Cette catastrophe permet à la main du peintre de s’affranchir de l’œil, et cet affranchissement se rend compte dans le « diagramme ». Elie During nous éclaire sur cette notion : “c’est un ensemble de procédés, ils peuvent prendre des formes très diverses, mais qui ont tous en commun de capter quelque chose comme un ensemble de forces, des rapports de forces qui mettent le tableau en tension avant même que des figures soient installées, disposées, composées”. Ainsi, “le diagramme est une puissance de déformation avant d’être une puissance formative”.

Pour en parler

David Lapoujade, professeur de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il a préparé l’édition des cours de Gilles Deleuze, Sur la peinture. Cours mars-juin 1981, Les Éditions de Minuit, 2023. Il a également préparer les éditions de :

  • Gilles Deleuze, L’Île déserte et autres textes. Textes et entretiens 1953-1974, Les Éditions de Minuit, 2002.
  • Gilles Deleuze, Deux régimes de fous. Textes et entretiens 1975-1995, Les Éditions de Minuit, 2003.

Il est à l’origine d’un travail sur Deleuze :

  • Deleuze, les mouvements aberrants , Les Éditions de Minuit, 2014.

Parmi ses autres travaux, on trouve :

  • William James. Empirisme et pragmatisme, PUF, 1997 ; réédition Les Empêcheurs de penser en rond, 2007.
  • Fictions du pragmatisme. William et Henry James, Les Éditions de Minuit, 2008.
  • Puissances du temps. Versions de Bergson , Les Éditions de Minuit, 2010.

Elie During, maître de conférences en philosophie à l’université Paris Nanterre. Il enseigne aussi aux Beaux-Arts de Paris. Il est spécialiste de Bergson et de philosophie française contemporaine. Parmi ses publications, on trouve :

  • Glenn Gould, éditée par la Philharmonie de Paris, 2021 (avec Alain Bublex).
  • Bergson et Einstein : la querelle du temps, PUF, 2016.
  • Avec Alain Bublex, Le futur n’existe pas : rétrotypes, Éditions B42, 2014.
  • Faux raccords. La coexistence des images , Actes Sud, 2010.
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Charles MELMAN, 12 novembre 2019 – Archélogie

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Que reste-t-il de nos amours ? France culture

L’amour platonique n’est pas l’amour platonicien, mais une élaboration postérieure à la conception de Platon. Elle se développe dans la philosophie du néoplatonicien médicéen Marsile Ficin, pour qui l’amour doit être abstinent et non charnel. Mais l’amour sans sexualité existe-t-il vraiment ?

Épisode 2/3 : L’amour est-il asocial ?

L’amour sépare-t-il ou réunit-il les individus ? Est-il asocial ou, au contraire, au fondement de nos sociétés ? Réponse au XVIIIe siècle avec l’Abbé Prévost, Laclos et l’amoureux préféré des philosophes, Jean-Jacques Rousseau.

Épisode 3/3 : Qu’est-ce qu’une rencontre amoureuse aujourd’hui ?

Outils attrayants pour trouver l’amour aujourd’hui, les sites de rencontre sont accusés d’hypersexualiser nos relations et de sonner le glas de l’amour. Une rencontre virtuelle peut-elle être amoureuse ? Et si, au contraire, elle permettait de dépasser la quête d’un soi-disant idéal amoureux ?
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Roland BARTHES, La photo-portrait

« La photo-portrait est un champ clos de forces. Quatre imaginaires s’y croisent, s’y affrontent, s’y déforment. Devant l’objectif, je suis à la fois : Celui que je me crois, celui que je voudrais qu’on me croie, celui que le photographe me croit, et celui dont il se sert pour exhiber son art. Autrement dit, action bizarre : je ne cesse de m’imiter, et c’est pour cela que chaque fois que je me fais (que je me laisse) photographier, je suis immanquablement frôlé par une sensation d’imposture (comme peuvent en donner certains cauchemars). Imaginairement, la photographie (celle dont j’ai l’intention) représente ce moment très subtil où, à vrai dire, je ne suis ni un sujet ni un objet, mais plutôt un sujet qui se sent devenir objet : je vis alors une micro-expérience de la mort (de la parenthèse) : je deviens vraiment spectre. Le photographe les sait bien, et lui-même a peur (fût-ce pour des raisons commerciales) de cette mort dans laquelle son geste va m’embaumer. Rien ne serait plus drôle (si l’on n’en était pas la victime passive…) que les contorsions des photographes pour « faire naturel » : pauvres idées : on me fait asseoir devant mes pinceaux, on me fait sortir (« dehors », c’est plus vivant que dedans), on me fait poser dans un escalier parce qu’un groupe d’enfants joue derrière moi, on avise un banc et aussitôt (quelle aubaine) on me fait asseoir dessus. On dirait que, terrifié, le photographe doit lutter énormément pour que la photographie ne soit pas la mort. Mais moi, déjà objet, je ne lutte plus […] Mais lorsque je me découvre sur le produit de cette opération, ce que je vois, c’est que je suis devenu Tout-Image, c’est à dire la Mort en personne. »

Roland BARTHES, in La chambre claire, 1979, Ed.. Le Seuil

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WAROL- BASQUIAT Fondation Louis Vuitton, Paris

WAROL- BASQUIAT Fondation Louis Vuitton, Paris 20 avril 2023
Photographies et montage Bernard Obadia
re-presentations.fr
collection Journal 28

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ATGET par Françoise Reynaud

[…] « En fait les Surréalistes aimaient surtout dans l’œuvre d’Atget ces photographies que l’on pouvait réinterpréter, comme la scène de « l’éclipse », qu’ils intitulaient « Les nouvelles conversions », parce que les spectateurs groupés sur la place de la Bastille regardent tous vers le ciel ; ou bien ces devantures de magasins, ces étalages de marchandises, ces événements particuliers de la rue qu’il avait transcrits à sa façon, en recherchant l’angle de vue le plus évocateur, le plus utile à ce qu’il pensait être les besoins de sa clientèle. Certaines images révélaient une absence totale de référence aux conventions traditionnelles de cadrage et de composition, et un intérêt peu commun pour des sujets à priori non « artistiques ». Elles montraient l’environnement quotidien sans embellissement aucun, et les réalités que l’on côtoyait sans les remarquer. Le monde ainsi représenté prenait une apparence de rêve vécu, et faisait écho aux recherches de la communauté surréaliste en direction des phénomènes de l’inconscient et de son impact sur la création » […]

Françoise REYNAUD, in PHOTO POCHE N°16

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Pablo PICASSO, Homme

Pablo PICASSO, Homme, 1972, Musée Picasso, Paris.

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Apprendre à mourir – France culture

    • Pour Camus, la certitude de la mort révèle l’absurdité de la vie. Si “les hommes meurent et ne sont pas heureux”, la vie vaut-elle la peine d’être vécue ? Quel comportement doit-on adopter face à la prise de conscience de notre finitude ?
    • « Philosopher, c’est apprendre à mourir » affirmait Montaigne. Que voulait-il vraiment dire par là ? Comment faire pour ne plus craindre la mort selon lui ?
    • Heidegger a relié l’essentiel de notre existence humaine au fait d’être dirigé vers la mort : nous sommes des “êtres-pour-la-mort.” Or, notre sentiment quotidien de finitude provient-il uniquement de notre condition de mortels ? Ce sentiment de finitude ne renvoie-t-il aussi au fait d’être né ?
    • Tandis que certains plaident pour un droit à l’euthanasie et au suicide assisté, d’autres mettent en garde contre de possibles dérives et insistent sur les possibilités déjà offertes par la loi française actuelle. Que faire face au désir de mourir de certains patients en fin de vie ?
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Fernand LEGER, Le Pot Rouge

Fernand LEGER, Le Pot Rouge, 1926.

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arrêtés

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Thierry ROTH, Allons-nous enfin en finir avec le sexe ?

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Walter BENJAMIN, la photographie un art…

“ On s’était dépensé en vaines subtilités pour décider si la photographie était ou non un art, mais on ne s’était pas demandé d’abord si cette invention même ne transformait pas le caractère général de l’art.”

Walter BENJAMIN, in L’œuvre d’art à l’ère de sa reproductibilité technique, traduction fr. en 1936.

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Natures mortes, les Choses, Musée du Louvre, Paris

Natures mortes, les Choses.   Musée du Louvre, Paris, 24 novembre 2022
Photographies et montage Bernard Obadia
Re-presentation.fr
Collection Journal 26

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le bord du monde

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