Les philosophes et le pouvoir

Les « Principes de la philosophie du droit » d’Hegel, publié en 1820, cristallise le nœud d’une critique chez un groupe de philosophes : les jeunes hégéliens. En cause, une accommodation de l’État prussien. Comment ont-ils nourri une critique du pouvoir politique, avec et contre leur « maître » ?

 

Selon la légende, le philosophe Aristote aurait été le précepteur d’Alexandre le Grand, devenu roi de Macédoine à la mort de son père, Philippe II, en 336 avant J.-C. Bien que cette relation ne soit pas avérée, que nous dit-elle du rapport qu’entretenait Alexandre le Grand avec les philosophes ?

 

Le personnage politique le plus souvent cité par Raymond Aron dans ses Mémoires, publiées en 1983, n’est autre que le général de Gaulle. Entre accords et dissensus, quels sont les véritables liens qui unissent l’homme d’État et l’intellectuel ?

 

Les philosophes Simone Weil, Jean Cavaillès et Georges Canguilhem sont des figures qualifiées de courageuses. Est-ce à dire que le courage en politique est une vertu du philosophe ? Est-il nécessaire de développer une philosophie de l’action pour agir en politique ?

 

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