PoèmeSommaire

Vous relevez les titres d’un sommaire, celui de l’ouvrage magifique de Michel Schneider, Les morts imaginaires, (Folio, Gallimard) et voilà que se consitue une forme de poème qui peut déclencher l’écriture comme la rêverie.
(Ailleurs, pour un projet de texte pour le théâtre, nous écrirons à partir de ces départs qui permettent de négocier avec la solitude comme avec la mort. Mais ça, c’est une autre histoire… Une histoire à venir ou de fin ?…)

A l’heure de notre mort
La langue coupée
On mourra seul
Point de coiffeuse
Est-ce que je vis encore ?
Je suis né tué
Vous m’aimez donc ?
C’est assez, c’est assez
La suite à demain
Donne-moi ta patte
La femme de ma mort
Scrisse, Visse, Amo
Une grande caisse en bois blanc
La mort à trois faces
Ecrire, papier, crayon
Sœur ! sœur ! sœur !
Je lui raconterai une histoire
L’ottomane
J’étais en face de moi
Ich sterbe
Les langues de la mort
Je t’écris couché
La mort de Lev Nicolaïevitch
La chambre de personne
Je ne sais plus de qui je suis l’amour
Cela n’a plus de sens
La petit valise noire
Moi, je ferai la plonge
La mort plagiaire
Morts parallèles
Danser avec les mots
Excusez-moi pour la poussière
Chagrins d’amour
Le régiment part à l’aube
Mourir est un jeu
Bisogna morire
Ca va passer
Et maintenant
Envoi

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