L’intériorité

    • Mais d’où peut bien venir cette voix que nous entendons dans notre tête lorsque nous nous adressons à nous-mêmes ? En quoi le langage intérieur peut-il être bénéfique ? Et comment traiter ses dysfonctionnements qui se manifestent sous la forme de ruminations ou encore d’hallucinations auditives ?

    • Le corps a longtemps été écarté dans les débats philosophiques au profit de l’esprit. Pourtant, le corps est un acteur décisif de notre perception et de notre compréhension du monde. Que nous apprend le corps sur le monde extérieur ? Quel accès à l’intériorité ce même corps rend-il possible ?

    • Pour écrire ce qu’on a dans la tête, il est nécessaire de cultiver une certaine solitude. Une forme d’indifférence provisoire au monde semble alors souhaitable pour développer son intériorité. C’est dans cette manière de se rendre disponible à ce qui se passe au dedans que naît l’inspiration.

    • Des « droits fondamentaux psychiques » émergent, en lien avec une nouvelle manière d’encadrer les comportements psychiques : ceux-ci sont appréhendés comme objets du droit, et non de la morale. Mais un tel encadrement de notre vie psychique par le droit n’entraîne-t-il pas des impensés ?

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