Diane ARBUS, Plus on est spécifique, plus général on devient.

« Ce que j’essaie de décrire, c’est l’impossibilité de sortir de votre peau pour entrer dans celle d’un autre. Et c’est ce que tout cela tend à dire. Que la tragédie des autres n’est pas la même que la vôtre. »
« Une photographie doit être spécifique. Je me souviens qu’il y a longtemps quand j’ai commencé à photographier, j’ai pensé : il y a énormément de personnes dans le monde et ca va être difficile de les photographier
toutes, donc, si je photographie une sorte d’être humain généralisé, tout le monde le reconnaîtra. Ce serait en quelque  sorte ce que l’on appelait l’homme moyen ou quelque chose de ce genre. […/…] Plus on est spécifique, plus général on devient. »
Diane ARBUS

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