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Méta
accumulation
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Une réponse à accumulation
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De prime abord, accumulation de cartons, de cageots, de sacs plastique
On se dit: dépotoir derrière un grand magasin alimentaire ou « reliefs » de marché…
On creuse un peu plus loin: résidus, déchets, débarras, rebut (mais le tout propre sur lui, pas dégoutant, non, présentable)
On pense société consumériste; on pense oui mais il faut bien nourrir tout ce monde. On pense à Jacquard qui nous dit que contrairement à ce que l’on croit, on produit assez pour nourrir toute la population mondiale.
On revient aux cartons. Ca fait combien de tonnes conditionnées en cartons, l’alimentation de la population mondiale?
On pense aux décharges des pays « émergents » (pour ne pas dire pauvres, encore un euphémisme dont notre siècle a le secret!) où des milliers de gosses, de familles exclues de tout viennent chercher un minimum vital, vraiment très minimum et pas vital du tout, puisqu’ils crèvent comme des mouches?
On accumule les réflexions. Ca part dans tous les sens.
Et puis à la fin, on se dit: « Mais notre vie ne serait-elle qu’accumulation? Accumulation de « débris », de « résidus »? Accumulation de l’inutile? Où a donc foutu le camp l’essentiel? »
Résignée, je me dis que l’essentiel est un trésor inaccessible… Tout le contraire de l’inutile qui traîne partout!