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Méta
regard vague
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4 réponses à regard vague
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Posté là, il rame.
Il tourne.
Il s’affole.
A-t-il encore un corps?
Il est habité d’idées terrifiantes qu’il ne connaît pas, qui arrivent sans prévenir,
qui s’imposent.
Séraphin lampion à Moulinsart
Capitaine Karbok, Harrockn’roll, madame…
Il est troué plus profondément
que Jean-Jacques Rousseau avec son ruban.
Il est coupable
de tout ou presue.
La vague du regard l’emporte.
Tout est difficile :
Mâcher,
dormir.
En station à la fenêtre. La vraie vie passe ailleurs qu’ici. Bordel comme c’est loin tout ça. Sur le calendrier les jours se ressemblent. Les jours ne veulent plus rien dire. fades lumières sur l’immeuble d’en face. L’automne est là. Poussière sur les yeux. Je ne sais pas.
Mais parfois je suis habité d’un inconnu terrifiant, prêt à tout.
A être paradoxalement
présent à son enterrement
pour voir leur gueule à mon sujet.
Mais toi ?
Entre vous et moi l’écran de l’ordinateur, entre vous et le sujet, l’écran de télévision, entre cet homme et son monde, l’écran de la vitre… et comme une petite mort.
Le constat amer d’un entre deux temps, d’un entre deux espaces, où se glissent le vide, l’absence, la perte des repères -même celui d’un horizon familier. Et dans ces interstices regardés, le sentiment d’être seul.
Un lien évident avec la note « étaient ».
Si cette dernière est un répons, celle-ci est la réponse du choeur au célébrant. Ici la présence humaine et ses doutes, l’humanité et ses scories – lampadaire rouge et sa prise, écran, marque de chaine télé… – en réponse, là-bas, à l’absence, à ce qui est presque un absolu, les bleutés, en valeurs, de ces tours et du ciel.