« Un paysage n’est pas l’addition d’une branche d’arbre, d’un arbre, d’une maison, d’une montagne lointaine, d’un nuage, constituant chacun une forme séparée s’additionnant au petit bonheur pour constituer leur ensemble. Ce qui revient à dire que c’est l’invention d’un rythme de coordination des sentiments séparés. Donc le peintre n’a pas à craindre de voir et de sentir son paysage plutôt que de le comprendre. (…)
On n’organise pas le spirituel.
On n’organise seulement le concret, le limité, le nécessaire. »
André DERAIN