« Nos sociétés ne tiennent-elles pas debout grâce à des «valeurs» (civisme, conscience professionnelle minimale, respect des interdits fondateurs, etc.) qui ne survivent elles-mêmes qu’en mobilisant je ne sais quel «sacré» résiduel ou dégradé ? Nous ne serions plus enté que sur des «lambeaux» d’humanité perdue, nos vies collectives ne reposeraient plus que sur des «reliquats» spirituels, des gisements en voie d’épuisement et que, en tout cas, rien ne renouvelle plus. »
Maurice Bellet, La seconde humanité. De l’impasse majeure de ce que nous appelons l’économie, Desclée de Brouwer, 1994
Bonjour,
Je reconnais bien les effets cités, mais je ne vois point les causes.
J’ai le sentiment que la cause est que le 20ème siècle est le siècle de l’obscurentisme.
Jusqu’au 19 ème nous avions toujours considéré que ce qui différenciait l’homme c’était sa pensée, maintenant nous prions un dogme nommé science qui vend que l’homme n’est que matière. Ainsi d’homme libre, nous sommes devenus homme outil pour servir quelques sciences.
Larmes de lumière dans la nuit du désespoir…
« On va d’un commencement absolu à un achèvement espéré quoique toujours repoussé; d’une année zéro, passée laquelle on ne peut plus revenir en arrière, à une apocalypse idéale. »
Régis DEBRAY, Vie et mort de l’image.
« Ce que nos apellons… »
…quelque « chose » en sa raison, n´est pas absolute, parce qu ´il manque de sa propre philosophy et il existe tRÈS differents philosophies et « raisonments ». Pour quelques uns, le travail n ´est plus que une allienation du subject ?!!!!!!