Fraternités, sororités, France culture

Le féminisme montre l’importance des rapports entre les femmes dans l’optique de faire changer les choses. Or, peut-on vraiment dire que les femmes constituent une catégorie à part entière au vu de la diversité de ces dernières ? Comment penser une sororité féminine et féministe ?
« Liberté, égalité, fraternité ». Si nous connaissons par cœur la devise française, sommes-nous vraiment capables d’appréhender ce que recouvre le dernier terme ? Comment faire face aux diverses interprétations qui existent parfois contradictoires ?
Pourquoi déteste-t-on son frère ou sa sœur ? Cette haine n’est-elle pas originelle, puisqu’un fratricide se trouve à l’origine de l’humanité selon le Livre de la Genèse ? Cette rivalité ne participe-t-elle de manière intrinsèque au développement psychique du nourrisson et de l’enfant ?
Au nom de quoi peut-on se sentir le frère ou la sœur de quelqu’un avec qui les liens du sang ne sont pas partagés ? Comment un lien fraternel ou sororal peut-il naître dans la résistance, la souffrance, ou encore l’altérité ?

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