« Au terme de leur lente ascension dans l’obscurité, ils accédaient à un palier et à un couloir qu’éclairaient faiblement des ampoules nues. C’était ainsi. Ils passaient de la lumière à l’ombre et de l’ombre à la lumière. Il fallait s’habituer à ce monde où tout pouvait vaciller d’un instant à l’autre. »
Patrick Modiano, Voyage de noces, Gallimard ed, p.61